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Donnez un toit (étanche !) aux sœurs d’Azille
Donnez un toit (étanche !) aux sœurs d’Azille

| abbé Ludovic 356 mots

Donnez un toit (étanche !) aux sœurs d’Azille

 

Les seaux sont vite remplis, mais les finances ne suivent pas…

Lors des pluies et vents violents qui ont sinistré l’Aude en octobre 2018, et à nouveau en octobre 2019 (le chantier étant seulement commencé !), l’eau s’est infiltrée par la toiture jusqu’au 1er étage dans les chambres des sœurs et la bibliothèque, malgré les seaux, bâches et bassines qui tapissent le sol du grenier depuis des années.

Il faut se rendre à l’évidence : les toits, sans isolation, du monastère d’Azille construit à la fin du XIXème siècle sont maintenant une vraie passoire ! Des travaux urgents s’imposent !

Dès leur arrivée en 2008, les chanoinesses ont dû refaire le toit de l’église. Pour permettre aux familles et aux retraitants de faire une retraite au sec, elles avaient rénové la toiture de leur lieu d’accueil il y a 2 ans. Mais maintenant, elles ont besoin de vous pour les bâtiments monastiques et surtout pour leur infirmerie !

Qui sont les sœurs d’Azille ?

Les Chanoinesses de la Mère de Dieu sont filles de Saint Augustin. Pour la gloire de Dieu et le salut des âmes, elles ont une vie de prière et de service missionnaire.

La communauté, reconnue par Rome en 2000, compte actuellement 18 membres. Elle est arrivée dans le diocèse de Carcassonne (Aude) en 2008 dans le village d’Azille, succédant aux Clarisses qui y étaient présentes depuis le XIVème siècle.

Pourquoi soutenir les sœurs d’Azille?

PARCE QUE LE TRAVAIL DES SŒURS NE SUFFIT PAS À COUVRIR DE TELS FRAIS

Les sœurs assument les tâches quotidiennes au monastère (cuisine, couture, buanderie, sacristie, infirmerie, accueil… chacune a son emploi).

Elles travaillent aussi au potager et au verger, transforment les produits du jardin en bocaux et confitures… Certaines confectionnent des soutanes, produisent différents articles de couture pour l’Artisanat Monastique. Par ailleurs, la prière liturgique et personnelle occupe plusieurs heures dans l’emploi du temps quotidien des chanoinesses.

Il leur faut aussi consacrer du temps aux missions apostoliques, qui les retiennent plus ou moins longtemps hors de la clôture. Elles préparent ces services par des études adaptées.

Tout cela limite la production artisanale du monastère.

https://www.credofunding.fr/fr/soeurs-azille

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